On s’y mettait même en scène, valise à la main, prêt à embarquer dans un avion sur toile peinte, devant un appartement factice suréquipé, un paysage urbain imaginaire ou une brousse verdoyante en trompe-l’œil. Des désirs de représentation qui nous permette de nous approcher des peurs et des désirs intimes de ceux qui se sont laissés « tirer le portrait ».